La cérémonie de remise du Ballon d’Or arrive à grands pas. Pendant que chez France Football on s’affaire à l’organiser, chez Sportime on se concentre sur des faits marquants des carrières de nos favoris. Aujourd’hui, une semaine avant l’annonce officielle, c’est Robert Lewandowski et son (non) Ballon d’Or qui nous intéresse ! Et si l’édition 2020 n’avait pas été annulée ?
Au fil des semaines, trois noms ressortent un peu plus que les autres quand on parle de la grosse balle dorée si prestigieuse. Lionel Messi, toujours lui, Karim Benzema et donc Robert Lewandowski semblent se détacher des autres, sans qu’aucun ne s’affirme comme une évidence aux yeux de tous. Pourtant, l’an passé, l’issue avait l’air écrite et l’attaquant polonais se présentait comme le candidat logique à la succession de la Pulga. Une Ligue des Champions glanée dans un exercice… spécial avec un Final 8 inédit. Des trophées en veux-tu en voilà : une Supercoupe d’Europe, une Supercoupe d’Allemagne, une Bundesliga et une Coupe d’Allemagne tout en étant meilleur buteur du championnat et de l’année civile. Un cru exceptionnel pour Lewa ! Tout ça pour choper des récompenses individuelles mais pas celle dont tout le monde rêve. Il est élu meilleur attaquant de l’année, meilleur joueur UEFA, ramène son The Best à la maison (meilleur footballeur de l’année par la FIFA) mais pas le trophée doré. Il ne rajoute pas son nom à la longue liste des joueurs ayant soulevé le trophée France Football…
Des légendes qui n’ont pas eu l’honneur de recevoir ce trophée il y en a eu. Neuer, Casillas, Henry, Xavi, Iniesta, Raul, Bergkamp… Il faudrait une journée pour les énumérations ! Cependant, se voir privé de cette chance à cause d’une annulation controversée, c’est peut-être encore plus dur à encaisser. Cet aboutissement aurait pu le faire changer de dimension et cette déception aurait pu en faire s’effondrer certains mais pas LewanGOALski. Le type est revenu encore plus tueur que jamais ! Une saison record en Bundes, 41 pions qui viennent dépoussiérer l’ancienne marque de 40 du regretté Gerd Müller. Mais le palmarès collectif n’est pas celui de la saison passée… Peut-être ce qui va lui ôter à nouveau un premier Ballon d’Or. À 33 berges, il est encore en âge de nous caler des statistiques de mammouth et il va sûrement s’offrir d’autres opportunités de discuter à la table des joueurs sacrés par le Graal individuel.
Certains aimeraient que cette édition prenne en compte l’année 2020 dans les votes mais le passé est le passé. Nous pouvons être sûrs que les électeurs n’ont pas pris ça en compte ! Est-ce que Bébert gagnera un Ballon d’Or dans sa carrière ? Est-ce pour cette année ? En tout cas, un tel monstre ne l’aura pas volé.
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